• Les huiles essentielles ont trouvé leur place dans la maison pour purifier l’air ambiant, parfumer le linge, voire même soulager les petits « bobos ». Mais attention, bien que d’origine naturelle, ces préparations ne sont pas sans risque ! Ce sont des concentrés actifs qui peuvent s’avérer dangereux s’ils ne sont pas utilisés à bon escient.

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    Définition d’une huile essentielle

    L’huile essentielle est une substance odorante volatile produite par certaines plantes et pouvant être extraite sous forme de liquide obtenu par distillation de plantes aromatiques à la vapeur d’eau (feuilles, fleurs, écorces, graines, tiges, etc.) mode d’extraction le plus utilisé.

     

    Bien qu’on l’appelle huile, cette substance ne contient aucun corps gras.

     

    Les huiles essentielles sont en vente libre. On les trouve en pharmacie, en grande surface, dans les magasins spécialisés et sur internet.

    L’utilisation des huiles essentielles

    On ne choisit pas son huile par hasard. Il faut se renseigner avant tout usage car les huiles essentielles sont très concentrées en éléments chimiques actifs et peuvent présenter certains dangers.

    l existe plusieurs modes d’utilisation par :

    • voie interne : comme les huiles essentielles sont irritantes pour les muqueuses, on les mélange généralement à un peu d’huile végétale, à du miel. Elles ne doivent pas, en principe, être ingérées pures ;
    • voie externe : on la mêle à une huile de massage ou à un onguent pour lui permettre de se diffuser dans l’organisme à travers la peau;
    • voie aérienne : l’huile diffusée dans l’air est absorbée par les voies respiratoires.

    L’Union européenne classe d’ailleurs certaines d’entre elles comme substances dangereuses[3] et exige, à ce titre, la présence de mentions claires destinées à informer le consommateur.

    Les huiles essentielles entrant dans la fabrication de médicaments

    S’agissant de l’utilisation d’huiles essentielles à des fins thérapeutiques, le Code de la santé publique stipule que les médicaments à base de plantes, c'est-à-dire les médicaments « dont les substances actives sont exclusivement une ou plusieurs substances végétales ou préparations à base de plantes, ou une association de plusieurs substances végétales ou préparations à base de plante », peuvent être dispensés d’autorisation de mise sur le marché et être soumis à une simple obligation d’enregistrement auprès de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM)[4]. Certaines préparations à base d’huiles essentielles entrent dans ce cadre sous réserve de l’avis de l’ANSM. L’Agence a, par ailleurs, émis un certain nombre de recommandations relatives à l’utilisation des huiles essentielles dans la fabrication des médicaments auxquelles il convient de se référer[5].

    Les huiles essentielles vendues en tant que :

    ingrédients cosmétiques

     

    Certaines huiles essentielles sont vendues en tant qu’ingrédients à mélanger soi-même pour préparer des produits cosmétiques « maison ». Il convient donc d’être particulièrement prudent vis-à-vis des risques d’allergies, de photosensibilisation (il faut éviter de les appliquer avant une exposition au soleil), de brûlures (lorsque le dosage n’est pas respecté), etc.

    La réglementation européenne[6] relative aux cosmétiques a prévu un certain nombre de garde-fous qui s’appliquent aux huiles essentielles (respect du principe d’innocuité, règles de composition particulières, production d’un dossier d’information, règles d’étiquetage), notification de ces produits sur le portail européen des produits cosmétiques (Cosmetic products notification porta).

    denrées alimentaires

    Dès lors qu’une huile essentielle est destinée à être ingérée et qu’elle ne répond pas à d’autres définitions (médicament notamment), elle doit être qualifiée de denrée alimentaire.  

    • Les huiles commercialisées pour un usage aromatique
      Beaucoup d’huiles essentielles peuvent être utilisées en cuisine. La réglementation européenne[7] relative aux arômes a prévu un certain nombre de dispositions, notamment celles relatives à l’étiquetage et aux obligations des responsables de la première mise sur le marché. Les huiles essentielles provenant de ces plantes peuvent donc être utilisées dans l’alimentation, à condition que leur dose d’emploi soit compatible avec une utilisation en tant qu’arômes ou aromatisants (2 % au maximum).
    • Les huiles commercialisées en tant que complément alimentaire
      Certaines huiles essentielles peuvent être utilisées pour compléter le régime alimentaire normal. Dans ce cas, la réglementation a introduit une obligation de déclaration auprès de la DGCCRF[8]. Les allégations de santé figurant sur ces produits sont également soumises à autorisation préalable.

    A noter : les mentions dites « thérapeutiques » (prévention ou traitement de maladies) sont réservées aux spécialités pharmaceutiques.

    les allégations valorisantes sont-elles autorisées ?

    Seules les huiles essentiellles de qualité alimentaire peuvent porter le logo national AB ou le logo européen eurofeuille. Pour les huiles destinées à un autre usage, les allégations « bio » doivent répondre aux règles générales du Code de la consommation, notamment à l’interdiction de pratique commerciale trompeuse. Par ailleurs, en cas d’usage cosmétique, les allégations doivent respecter les critères communs auxquels sont soumises les allégations relatives aux produits cosmétiques. S’agissant des mentions « écologique », elles ne peuvent être présentes sur des produits classés dangereux, même dans le cadre d’un référentiel de certification privé.

    produits biocides

    Certaines huiles essentielles sont utilisées dans des produits pour une action de désinfection. Elles entrent dans la catégorie des produits biocides et doivent comporter un étiquetage spécifique (avec le nom de l’huile utilisée, sa concentration). Aux termes de la réglementation[9], les produits entrant dans cette catégorie ne peuvent être mis sur le marché que si les substances actives qui les composent sont autorisées pour un usage biocide. Une déclaration préalable à la mise sur le marché doit également être effectuée ainsi qu’une déclaration annuelle des quantités de produits mis sur le marché auprès du ministère en charge de l’environnement. Une déclaration de toxicovigilance, que le produit soit classé dangereux ou non, doit également être déposée.

    Les précautions d’emploi des huiles essentielles

     

    • L’usage des huiles essentielles est déconseillé chez l’enfant, la femme enceinte ou allaitante, les personnes âgées et les personnes souffrant de pathologies chroniques.
    • Ne jamais injecter d’huiles essentielles par voie intraveineuse ou intramusculaire.
    • Ne pas ingérer d’huiles essentielles.
    • Ne jamais appliquer d’huiles essentielles sur les muqueuses, le nez, les yeux, le conduit auditif, etc.
    • Pour les personnes à tendances allergiques, toujours effectuer un test d’allergie avant d’utiliser une huile essentielle.
    • Après un massage ou une application cutanée, se laver consciencieusement les mains
    • Veiller à la qualité des huiles essentielles, aux garanties annoncées sur leur provenance ainsi qu’au mode de culture dont elles sont issues.
    • Ne jamais chauffer une huile essentielle pour la diffuser.

     

     


    [1] Article L. 111-1 du Code de la consommation

    [2] Article L. 213-1 du Code de la consommation

    [4] Article L. 5121-14-1 du Code de la santé publique

     

     


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  • Cet aliment commun fait des merveilles. Il tire la chaleur et l’infection vers lui, il refroidit et apaise les tissus, il décongestionne et favorise la guérison. Il est très utile en cas de plaie, d’ulcère, de brûlure, d’inflammation et de mastite. Il suffit de prendre une ou plusieurs feuilles fraîches, d’enlever la veine majeure et de l’écraser avec un rouleau à pâte ou une bouteille jusqu’à ce que la feuille soit humide. Appliquez directement sur la partie à traiter, recouvrez d’un linge et changez aux deux heures. Notez enfin que le chou rouge est plus efficace que le vert, mais il tache davantage.


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  • Millepertuis (Hypericum perforatum) Fleurs de millepertuis - Hypericum perforatum | FloraMedicina, école d'herboristerie

    L’usage du millepertuis par voie externe est plutôt négligé depuis quelques années. Or il est fabuleux pour la cicatrisation. C’est une plante de premiers soins. Le millepertuis diminue l’inflammation, accélère la guérison, tient les bactéries au loin et fait la vie dure aux virus. Il traite particulièrement bien les brûlures et l’herpès. De plus, il apaise les muscles courbaturés et guérit les nerfs traumatisés. On l’utilise en cas de douleur, de perte de sensation, d’engourdissement ou de fourmillement. Pour toutes ces vertus, on se sert de l’huile infusée des fleurs, appliquée abondamment. On peut aussi la prendre par voie interne, à jeun, pour traiter un ulcère gastrique. Il est enfin possible d’utiliser la teinture sur l’herpès : ça chauffe, mais c’est très efficace !


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  • Prenez note qu’il faut toujours appliquer ces plantes sur des plaies propres, sans quoi elles pourraient accélérer la fermeture d’une lésion par-dessus des corps étrangers ou une infection ! En plus des plantes présentées dans cette section, voyez aussi ce que peuvent faire pour vous l’avoine, le framboisier, la camomille, l’arnica, le thym, l’usnée et la calendula.

     

    Plantain (Plantago major)Fleurs de plantain - Plantago lanceolata | FloraMedicina, école d'herboristerie

    Cicatrisant le plus polyvalent, le plantain favorise la guérison rapide de toute forme de plaie ou d’inflammation. Il resserre les tissus, soulage de la douleur et de la démangeaison. C’est le grand ami des personnes souffrant de piqûres d’insectes ou d’hémorroïdes. Si vous pouvez identifier la plante fraîche (dans toutes les pelouses non traitées), le cataplasme de feuilles fraîchement mâchées arrête les réactions aux piqûres et morsures : il tire le poison, les corps étrangers et la chaleur vers l’extérieur, il soulage et guérit rapidement. Pris par voie interne, le plantain est utile en cas de troubles chroniques des muqueuses respiratoires ou digestives (rhume, rhume des foins, toux, asthme, sinusite, ulcère, diarrhée, maladies inflammatoires de l’intestin, constipation…), car il normalise la production de mucus et arrête les saignements. Toujours par voie interne, le plantain neutralise et élimine les poisons et toxines qu’il rencontre dans le corps. C’est intéressant pour les personnes souffrant de troubles de la peau ou en cas d’empoisonnement aux métaux lourds. Prenez la feuille de plantain en teinture, sous forme d’huile infusée ou en onguent.

     

     

     

     


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  • Chers amis de la santé,

    L’histoire de Guillaume Depardieu est terrible.

    Mais elle doit être connue pour que vous ne fassiez pas la même erreur que lui ou que les 13 000 personnes qui subissent ce même sort en France chaque année.

    Guillaume Depardieu était un acteur promis à une carrière lumineuse : césar du meilleur espoir masculin en 1996 et fils d’un père emblématique.

    En 1995, un accident de moto lui cause une grave fracture du genou, soignée immédiatement en urgence.

    Cela aurait pu s’arrêter là.

    « Dans un premier temps, la fracture a guéri, j'ai eu un moment de répit, puis les médecins m'ont dit qu'il fallait reconstruire le genou, ils ont voulu faire du zèle. C'est à partir de là que tout est parti en vrille. »

     

    Il subit jusqu’à 17 opérations en quelques années, afin de lui poser une prothèse totale du genou.

    Quelques jours après son opération, sa prothèse contracte « la » bactérie redoutée par tout le personnel médical : le Staphylococcus aureus.

     

    Réopéré, il contracte une seconde fois cette bactérie, qui résiste à tous les antibiotiques.

     

    « Cette infection s'est déclenchée sans que je sache pourquoi. Les médecins ne me donnaient aucune réponse. J'étais dans l'univers du secret. Alors j'ai fouillé, il a fallu du temps pour comprendre. »

    C’était bien d’une infection nosocomiale : une infection contractée pendant une opération à l’hôpital.

     

     

     

    Qu’il s’agisse d’une opération à cœur ouvert ou de simples points de sutures suite à une chute, les bactéries responsables de ces infections, très virulentes et « volatiles » se transmettent rapidement au malade. Les médecins le laissent alors seul face à leur incapacité à gérer sa souffrance.

    « Bourré » aux antibiotiques qui lui faisaient « vomir du sang » sans soigner son infection.

    Juin 2006, il prend la courageuse décision de faire amputer sa jambe. La douleur était alors devenue insupportable :

    « Concentrez-vous sur l'intérieur de votre genou et imaginez qu'à chaque fois que vous faites un pas, vous poussez un cri ».

    Sa vie est alors brisée.

    « J'avais des projets, je n'en ai plus. J'ai perdu ma femme, mon boulot, je ne peux plus exercer mon métier, je ne souhaite pas à mon pire ennemi de se lever un matin à ma place. […] Maintenant, il faut que j'avance, mais j'ai le sentiment d'être un mort-vivant. »

    La colère qu’il ressent alors à l’égard de la médecine conventionnelle est immense :

     « J'ai fait une faute dans ma vie : j'ai fait confiance à la médecine. »

    Il se bat pour que la prévention des infections nosocomiales dans les hôpitaux soit systématique. Il lance même un appel à témoins et reçoit « des cartons » entiers de lettres de personnes en détresse :

    « J'étais dépassé, certains courriers sont à chialer, il y a un vrai désespoir. Avec les infections nosocomiales, les gens ne comprennent pas ce qui leur arrive. Ils sont paumés. Ils n'osent pas demander des explications parce que les médecins les en dissuadent. Je me mets à leur place et je sais que c'est l'univers du secret. »

    Pour lui, c’est un vrai scandale sanitaire. Et sa lutte pour la prévention des infections nosocomiales lui a même valu des « lettres anonymes avec menace de mort ».

    Même l’ancienne ministre de la santé Marisol Touraine a pu avouer son inquiétude en septembre 2015 :

    « Nous savons désormais que près de 160.000 patients contractent, chaque année, une infection par un germe dit multi-résistant, et que près de 13.000 patients en meurent directement. 13.000 décès par an, c’est gigantesque. »

    Chaque année, ce super-microbe tue autant d’Américains que le sida, l’emphysème et la maladie de Parkinson réunis. [1] Qu’il s’agisse d’une opération à cœur ouvert ou de simples points de sutures suite à une chute, les bactéries responsables de ces infections, très virulentes et « volatiles » se transmettent rapidement au malade. Les médecins le laissent alors seul face à leur incapacité à gérer sa souffrance.

    « Bourré » aux antibiotiques qui lui faisaient « vomir du sang » sans soigner son infection.

    Juin 2006, il prend la courageuse décision de faire amputer sa jambe. La douleur était alors devenue insupportable :

    « Concentrez-vous sur l'intérieur de votre genou et imaginez qu'à chaque fois que vous faites un pas, vous poussez un cri ».

    Sa vie est alors brisée.

    « J'avais des projets, je n'en ai plus. J'ai perdu ma femme, mon boulot, je ne peux plus exercer mon métier, je ne souhaite pas à mon pire ennemi de se lever un matin à ma place. […] Maintenant, il faut que j'avance, mais j'ai le sentiment d'être un mort-vivant. »

    La colère qu’il ressent alors à l’égard de la médecine conventionnelle est immense :

     « J'ai fait une faute dans ma vie : j'ai fait confiance à la médecine. »

    Il se bat pour que la prévention des infections nosocomiales dans les hôpitaux soit systématique. Il lance même un appel à témoins et reçoit « des cartons » entiers de lettres de personnes en détresse :

    « J'étais dépassé, certains courriers sont à chialer, il y a un vrai désespoir. Avec les infections nosocomiales, les gens ne comprennent pas ce qui leur arrive. Ils sont paumés. Ils n'osent pas demander des explications parce que les médecins les en dissuadent. Je me mets à leur place et je sais que c'est l'univers du secret. »

    Pour lui, c’est un vrai scandale sanitaire. Et sa lutte pour la prévention des infections nosocomiales lui a même valu des « lettres anonymes avec menace de mort ».

    Même l’ancienne ministre de la santé Marisol Touraine a pu avouer son inquiétude en septembre 2015 :

    « Nous savons désormais que près de 160.000 patients contractent, chaque année, une infection par un germe dit multi-résistant, et que près de 13.000 patients en meurent directement. 13.000 décès par an, c’est gigantesque. »

    Elles font encore plus de morts que le Sida

    Chaque année, ce super-microbe tue autant d’Américains que le sida, l’emphysème et la maladie de Parkinson réunis. [1]

    Ce remède agit là où les antibiotiques échouent

    Guillaume Depardieu, lui, décède en 2008 suite aux complications de son infection nosocomiale. A cause d’une « pneumonie » qui résiste à tous les antibiotiques.

    Ce décès allonge la liste des personnes qui viennent soigner une pathologie bégnine à l’hôpital et qui n’en ressortent jamais.

    Je ne sais pas si Guillaume Depardieu aurait pu être sauvé mais j’affirme qu’il existe un remède naturel capable de réduire drastiquement le nombre d’infections nosocomiales.

    Il s’agit des…. Huiles essentielles.


    Ce n’est pas par hasard : elles sont très puissantes pour détruire les virus, les champignons et les bactéries.

    Et il suffit de les diffuser pour éliminer complètement les germes pathogènes d’une pièce : votre salon, la chambre de vos enfants ou petits-enfants ou même votre chambre à l’hôpital.

    Ce n’est donc pas pour rien que les études sur l’efficacité des huiles essentielles sont en train d’exploser.

    Déjà en 2007, des scientifiques de la Manchester Metropolitan University (MMU) ont testé pendant 9 mois l’effet des huiles essentielles dans la prévention des maladies nosocomiales. [2]

    Les résultats ont été au-dessus de leurs attentes :

    90% des bactéries d’une pièce ont été tuées grâce à la diffusion dans l’air d’un mélange d’huiles essentielles.

    Les huiles essentielles n’ont même pas eu besoin d’être appliquées directement sur les surfaces. Elles sont si puissantes qu’il suffit de les suspendre dans l’air, tout en profitant de leurs parfums sublimes.

    Et pendant les mois de tests, aucun cas d’infection au Staphylocoque Doré Résistant à la Méticilline (SDRM).

    Et plus surprenant encore : dès que les scientifiques ont arrêté de diffuser ce mélange dans la chambre, il s’est fallu de peu de temps pour voir une éclosion de SDRM.

    En prévention il suffirait simplement de les diffuser : dans les blocs opératoires, les salles d’attente, les maisons de repos, les chambres de malades.

    Par exemple, l’huile essentielle d’eucapyltus radiata assainit efficacement l’air.

    Et son parfum est agréable : elle a une odeur fine et aérienne.

    La chercheuse Monique Lacroix qui étudie les propriétés antibactériennes des huiles essentielles en a testé plus de 200 pour trouver les plus efficaces contre les bactéries pathogènes (E. coli, la salmonelle et le staphylocoque doré). [3]

    Elles sont presque instantanément détruites par des huiles essentielles issues …. d’épices !

    • Sarriette des montagnes
    • Thym
    • Origan
    • Clou de girofle
    • Cannelle

    Les huiles essentielles deviennent vite indispensables quand on comprend à quel point elles sont efficaces et sans effets secondaires, mais elles peuvent aller beaucoup plus loin :

    Un biologiste jette un pavé dans la mare

    Plus récemment encore, le biologiste Adnane Remmal s’est vu décerner le prix du public de l’office européen des brevets pour son travail sur les antibiotiques enrichis aux huiles essentielles.

    Très inquiet face à la résistance croissante des bactéries aux antibiotiques, Adnane Remmal décide de s’appuyer sur la tradition médicinale marocaine et plus particulièrement sur les vertus antimicrobiennes de l’origan, du thym, et du romarin.

     

    Le biologiste Adnane Remmal dans son laboratoire, à Fès. 


    Ses recherches sont sans appel : face aux molécules naturelles contenues dans les huiles essentielles, la bactérie perd son immunité.

    « Grâce à ce nouveau médicament, on peut traiter un patient qui a un germe résistant ».

    Les huiles essentielles ont un pouvoir d’action très puissant, mais restent encore trop peu connues.

    Inconnues, en tous cas, par les médecins qui auraient pu les proposer à Guillaume Depardieu pour le sauver.

    Inconnues par la plupart des médecins en général.

    Mais la science est formelle : les huiles essentielles peuvent agir là où les antibiotiques échouent.

    Le cas de Brigitte, une de nos lectrices, est révélateur.

    Ses doigts ont été sauvés de l’amputation grâce à quelques gouttes d’huiles essentielles.

    « J’ai eu une opération de 2 doigts de la main après des piqures de rosier ! hé oui ! puis surinfection traitée avec 3 anti bio différents sans succès jusqu’au moment où le chirurgien voulait me supprimer les 2 phalanges…mais j’ai refusé et fais faire aromatogramme avec quelques gouttes de pus […] Jai guéri en 10 jours. Désormais je refais faire régulièrement ces gélules pour toute manifestation infectieuse. Abcès dentaire bronchite etc. Car ces HE me correspondent exactement. […] »

    Il n’y a donc plus de doute, l’utilisation des huiles essentielles est littéralement vitale en milieu hospitalier.

    Combien de morts auraient pu être évités grâce aux pouvoirs des huiles essentielles parmi les 160 000 personnes contaminées ?

    Combien de personnes ont finalement été amputées pour rien ?

    Mais surtout : pourquoi les médecins et les centres hospitaliers ne se sont-ils pas tous mis à les utiliser ?

    Arrêtez-moi si vous avez une preuve mais jusqu’alors aucun médecin en service hospitalier de les propose en cas de maladie nosocomiale.

    C’est un peu comme si vous renversiez un verre d’eau par terre devant un assoiffé en plein désert. En beaucoup plus grave.

    Pourtant, toutes les grandes civilisations ont touché du doigt sa puissance.

    Hippocrate, le père de la médecine, en a vanté les vertus. La Bible contient plus de 500 références à ce remède. Le grand médecin Avicenne, au 11ème siècle, a aidé à en extraire la quintessence.

    On sait désormais que les huiles essentielles sont au moins aussi puissantes que la plupart des médicaments, et sans effets secondaires lorsqu’on sait l’utiliser :

    Comme les antibiotiques, les huiles essentielles peuvent venir à bout d’une infection bactérienne comme nous avons pu le voir… mais elles tuent aussi les virus, contre lesquels les antibiotiques ne peuvent rien. Grippes, rhumes, otites, angines… elles agissent sur TOUTES les infections !

     

    Comme les antidouleurs chimiques, elles ont un effet puissant et immédiat… sauf qu'elles sont 100 % naturel et sans danger. Mal de dos, migraines, intestin douloureux, rage de dent, brûlures d’estomac, mal au genou : elles agissent en quelques minutes PARTOUT où vous avez mal.

     

    Contrairement aux médicaments psychiatriques, elles soignent votre sommeil, votre stress et votre dépression en profondeur, en vous redonnant sérénité et joie de vivre.

     

    Mieux que tous les produits dermatologiques, elles peuvent faire disparaître l’acné et toutes les maladies de peau (eczéma, psoriasis). Appliquées régulièrement, c’est même un élixir de beauté, qui rajeunit votre peau et vos cheveux.

    Comme certaines pilules de synthèse (Ibuprofen, Diclofenac…), elles ont un puissant effet anti-inflammatoire… sauf qu’elles ne causent pas, elles, de trou dans l’estomac ni de crise cardiaque. Arthrose, asthme, allergies, elles soulagent toutes les situations inflammatoires, sans effet secondaire.

    Et ce n’est pas tout.

    Elles sont encore perçu comme un tabou médical, mais elles pourraient bientôt devenir le traitement de référence contre les deux maladies les plus terrifiantes de notre temps :

    Cancer : elles s’imposent comme un accompagnement indispensable des traitements conventionnels… mais qui sait si elles ne deviendront pas le traitement n°1, quand on aura découvert l’ensemble de leurs possibilités ?

     

    Alzheimer : sans guérir la maladie, quelques gouttes chaque jour permettent de faire réapparaître des souvenirs que l’on croyait à jamais enfouis !

     

    45 % de décès en moins avec les huiles essentielles !

    Cela fait seulement quelques années que des chercheurs se sont mis à tester l’efficacité des huiles essentielles avec les mêmes méthodes scientifiques que pour les médicaments.

    Et les premiers résultats sont tout simplement ahurissants.

    Prenez le rhume, par exemple. C’est sans doute le problème de santé le plus répandu au monde, et pourtant la médecine moderne n’a jamais trouvé la moindre molécule chimique pour le guérir.

    Les médicaments servent uniquement à soulager les symptômes (réduire la fièvre, la congestion et les douleurs), au prix de sérieux effets indésirables.

    Mais les huiles essentielles, elles…

    Il a suffi de donner à des patients l’équivalent de 10 gouttes d’Eucalyptus Globulus par jour pour que leurs symptômes de rhinosinusite aiguë disparaissent en quelques jours… alors que le groupe traité par placebo était encore en pleine souffrance au bout de 7 jours. [4]

    Encore plus spectaculaire : on sait depuis longtemps que l’ail fluidifie le sang.

    Des chercheurs allemands ont donc cherché à savoir si l’huile essentielle d’ail pouvait aider les patients victimes de problèmes cardiaques.

    Et les résultats ont été sidérants.

    Au bout de 3 ans, 200 patients traités à l’huile essentielle d’ail ont eu 35 % de moins de crises cardiaques, et 45 % de moins de décès au total qu’un groupe comparable, traité avec un placebo ! [5]

    Un résultat salué à sa juste valeur par l’Organisation Mondiale de la Santé ! [6] 

    Douleurs, anxiété, mémoire, beauté : elles agissent sur tout !

    Rassurez-vous, je ne vais pas vous inonder d’études scientifiques.

    Mais vous devez savoir que les huiles essentielles obtiennent de magnifiques résultats à chaque fois qu’elles sont testées avec rigueur :

    • Elles améliorent votre mémoire ! Parmi deux groupes de volontaires, ceux qui ont été placés dans une salle avec un diffuseur d’huile essentielle de romarin ont nettement mieux réussi des exercices de mémoire. Une supériorité de 70 % [7] ;
    • Cette même huile essentielle de romarin aide aussi à faire repousser vos cheveux ! Au bout de 6 mois d’application sur le cuir chevelu, dans des conditions bien contrôlées, les patients ont bénéficié d’une repousse de leurs cheveux identique au groupe qui a pris du minoxidil, un médicament efficace mais très dangereux [8] ;
    • En seulement 2 semaines, des capsules d’huile essentielle de menthe poivrée ont effacé les douleurs de 75 % des patients souffrant de côlon irritable. [9] Cette puissante huile essentielle diminue aussi l’intensité des migraines [10], et fait au moins aussi bien que le paracétamol contre les maux de tête [11] ;
    • L’huile essentielle de lavande vraie supprime l’anxiété et vous rend serein. Cela a été testé avec succès… dans la salle d’attente d’un dentiste, où l’inquiétude est à son comble ! [12] 
    • Contre l’acné [13], il a suffi de 8 semaines pour qu’un mélange d’huile essentielle d’oranger, de basilic doux et d’extrait de vinaigre efface les boutons et lésions à 75 % ;
    • L’équivalent de quelques gouttes de Mentha Arvensis sur l’endroit qui vous fait mal réduit instantanément la douleur [14]… c’est particulièrement précieux si vous souffrez d’arthrose !
    • La force des huiles essentielles est tellement évidente que certains hôpitaux commencent à les introduire dans leurs services.

      Mêmes les hôpitaux commencent à s’y mettre

      Au Centre de Lutte contre le Cancer Eugène Marquis à Rennes, on examine avec étonnement la capacité de simples « massages » aux huiles essentielles… à remplacer les médicaments contre l’anxiété !

      Au CHU de Nice, les soignants se passionnent pour l’impact des huiles essentielles sur les patients atteints de la maladie d’Alzheimer.

      A Montélimar, cela fait même plus d’une dizaine d’années que le service cancérologie du centre hospitalier utilise les huiles essentielles pour compléter les traitements anti-cancéreux classiques, accompagner les malades et soulager certains effets secondaires.

    Vous le voyez, les fondateurs de l’aromathérapie moderne avaient raison !

    Les huiles essentielles agissent bien sur plus de 95 % des problèmes de santé… sans effet indésirable lorsqu’elles sont bien utilisées !

    Et le plus fabuleux, c’est qu’elles sont en vente libre… très peu coûteuses… et faciles à utiliser pour peu que vous soyez bien informé(e) et bien accompagné(e) !

    Cela veut dire que vous pouvez profiter pleinement de leurs vertus, vous aussi, avec la bonne méthode.

    Je vous en dirai plus à ce sujet dans un instant, mais d’abord, je voudrais vous expliquer pourquoi les huiles essentielles sont aussi impressionnantes.

    Leur secret ? Ce sont des « condensés d’énergie solaire »

    Toutes les plantes ne fabriquent pas des huiles essentielles, loin de là. C’est un privilège réservé à un petit nombre de plantes supérieures.

    Elles les produisent grâce au soleil, par la photosynthèse. C’est pourquoi les huiles essentielles peuvent être qualifiées de « condensés d’énergie solaire ».

    Les plantes les gardent précieusement dans des petites « poches à essence ». Ce sont leurs « réserves d’énergie » dans lesquelles elles vont puiser en cas de besoin – si le soleil vient à manquer, par exemple.

    Car les plantes sont enracinées… elles ne peuvent pas se déplacer vers un endroit plus riche en apports nutritifs. Mais grâce aux huiles essentielles, elles ont de puissants réservoirs d’énergie !

    Et ce n’est pas là leur seule utilité. Les plantes aromatiques s’en servent aussi… pour faire fuir les agresseurs !

    Elles utilisent leurs « essences » pour se protéger des attaques des bactéries, des virus et des champignons.

    Voilà pourquoi les huiles essentielles sont aussi puissamment anti-virales, antibactériennes, et antifongiques !

    Ce que les plantes aromatiques ont créé pour survivre et guérir, aucun chimiste n’aurait pu l’inventer !

    Cette « quintessence » plonge dans vos cellules pour vous guérir

    L’autre secret des huiles essentielles, c’est qu’elles sont hyper concentrées.

    Savez-vous combien de plantes de menthe poivrée ou de thym vulgaire sont utilisées pour fabriquer une petite bouteille d’huile essentielle ?

    Plus de 10 kilos ! Votre flacon de quelques millilitres contient la puissance de plus de dix kilos de ces plantes médicinales !

    Et ce n’est pas tout.

    Dans une goutte d’huile essentielle, il y a 40 millions de trillions de molécules (40 000 000 000 000 000 000).

    C’est vous dire si ces molécules sont minuscules… et c’est ce qui leur permet de passer à travers tous nos tissus et de rentrer au cœur de nos cellules.

    Car il suffit d’en appliquer une goutte quelque part sur votre corps, pour qu’elle soigne tout votre organisme en quelques minutes, grâce à la circulation sanguine !

    Si vous avez du mal à le croire, vous pouvez l’expérimenter par vous-même : appliquez deux ou trois gouttes d’Eucalyptus radié sur la plante de votre pied… attendez une demi-heure… puis soufflez au visage d’un proche.

    Et vous verrez, le miracle se produira : votre proche confirmera l’odeur d’Eucalyptus !

    Même chose si vous les respirez : vos poumons les redistribueront dans le flux sanguin.

    Quel que soit le mode d’utilisation que vous choisissez, il suffit de quelques gouttes pour avoir un effet maximal !

    Voilà pourquoi les huiles essentielles peuvent remplacer avantageusement 95 % des médicaments les plus répandus.

    Et ce qui est incroyable, c’est qu’elles n’agissent pas seulement sur les problèmes du quotidien - douleurs, rhume, inflammation, infections hivernales, nausées, constipation, insomnie, etc.

    C’est sans doute sur les maladies chroniques que leur potentiel d’action est le plus éblouissant.

    Indispensable pour toutes les maladies chroniques !

    Prenez le cas de Philippe, qui a tenu à témoigner publiquement de son « petit miracle » [15].

    A 73 ans, il a été frappé par un cancer, une tumeur endocrine, inopérable. Placé sous traitement, il subit très vite de lourds effets secondaires (diarrhées, bouffées de chaleur).

    Mais lorsqu’il a consulté un médecin spécialiste des huiles essentielles, tout a changé.

    Très vite, les effets secondaires ont disparu. Mais surtout, ce sexagénaire a eu l’impression de vivre une nouvelle vie… malgré sa terrible maladie !

    « Voici pour moi le résultat de ce traitement aux huiles essentielles : ces dernières années, plus de grippe, ni fièvre, ni abcès dentaire, ni maladies diverses, plus de fatigue.

    Au passage, les douleurs liées à l’arthrose ont quasiment disparu.

    Le moral est revenu lui aussi. Me lever le matin ne me pèse plus ! Et mon corps a retrouvé le tonus qu’il avait perdu ces dernières décennies ». 

    Pour Philippe, les huiles essentielles ont été une vraie résurrection… et je ne doute pas une seconde qu’elles pourraient faire la même chose pour vous.

    Arthrose, diabète, hypertension, ostéoporose, asthme… Elles sont vraiment votre meilleure alliée pour terrasser les maladies chroniques.

    Très franchement, vu leur efficacité, il serait plus que temps que les médecins se mettent enfin à les prescrire massivement contre la plupart des maladies.

    C’est urgent et logique… mais, ce n’est pas près d’arriver, hélas.

    Vu la puissance des lobbys pharmaceutiques et le manque de temps des médecins, il faudra attendre des années, peut-être des décennies avant que votre médecin ne se forme aux huiles essentielles.

    Sauf urgence ou maladie grave, vous n’aurez plus besoin d’aller chez le médecin… et encore moins de passer par la pharmacie pour acheter des médicaments. Etre capable de se soigner seul au quotidien est une véritable libération : imaginez que vous n’ayez plus à appeler le plombier ou à passer chez votre garagiste, parce que vous savez faire !

     

    Avec quelques flacons (qui durent de nombreuses années), vous pouvez vous guérir et guérir votre famille de 95 % des problèmes de santé. Finis les problèmes chroniques, les fatigues ou les douleurs : l’effet est puissant et immédiat.

    Avec les huiles essentielles, vous aurez à tout moment les meilleures alliées contre les baisse de moral, les blessures psychologiques, les périodes d’angoisse et de stress. Dites bienvenue à la paix et la sérénité, avec ces « essences » qui touchent au plus profond de votre être.

    De nombreux livres sur les bienfaits des huiles essentielles,et la manière de les utiliser sont disponibles sur internet,et vous devez vraiment prendre cela très au sérieux.....Il en va de votre santé,et de votre bien-être,ainsi que celui de vos proches......

    Cordialement à vous tous.

     


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