• L'ortie est une plante aux nombreuses vertus, qui agissent sur l'ensemble du métabolisme. Ses feuilles ont des propriétés diurétiques et diminuent les douleurs articulaires, alors que sa racine traite de nombreux troubles. Elle diffère légèrement de l'ortie brûlante.

    Nom scientifique : Urtica dioica

    Noms communs : ortie, ortie dioïque, grande ortie, ortie piquante, ortie commune

    Noms anglais : common nettle , stinging nettleortie

    Classification botanique : famille des urticacées ( Urticaceae )

    Formes et préparations : extrait de feuilles, extrait de racines, nébulisat, teinture mère, gélules, poudre, tisanes

    Propriétés médicinales de l'ortie

     

    Formes et préparations : extrait de feuilles, extrait de racines, nébulisat, teinture mère, gélules, poudre, tisanes

    Propriétés médicinales de l'ortie

    Utilisation interne

    L'ortie est diurétique, dépurative, antirhumatismale, anti-inflammatoire, antalgique, antimicrobienne, antiulcéreuse, antianémique, hépatoprotectrice, antioxydante, hypoglycémiante, antiallergique, immunostimulante, hypotensive, tonique, galactogène.

    Utilisation externe

    L'ortie offre des propriétés astringentes et cicatrisantes.

    Indications thérapeutiques usuelles

    Cette plante apaise les articulations douloureuses ; vient en complément des traitements traditionnels pour les maladies inflammatoires des voies urinaires ; agit comme drainage préventif, diminue les lithiases rénales ; régule les troubles mictionnels des adénomes prostatiques ; rééquilibre les fonctions de l'organisme ; réduit les hémorragies et l'hémophilie.

    Autres indications thérapeutiques démontrées

    Acné modérée, hyperséborrhée ; chute de cheveux, maux de tête ; anémie ; goutte ; eczéma ; blessures infectées.

    Description botanique de l'ortie

    La grande ortie est une plante vivace, mesurant de 60 à 150 cm de hauteur, et qui pousse en colonies. Elle est entièrement recouverte de longs poils urticants ou de petits poils souples. Les tiges sont dressées, les feuilles sont vert foncé, bordées de dents triangulaires. Les fleurs sont réunies en grappes. Le fruit est un akène ovoïde.

    Composition de l'ortie

    Parties utilisées

    Ce sont les feuilles et les racines qui sont utilisées en phytothérapie.

    Principes actifs

    Protéines, flavonoïdes, sels minéraux (calcium, potassium, silice), vitamines A et C, acides phénols, scopolétol, sitostérol, lipides, sucres, acides aminés, polysaccharides, lectine, lignanes, tanins.

    Utilisation et posologie de l'ortie

    Dosage

    L'ortie peut être consommée de manière quotidienne, sur plusieurs mois.

    En tisane de racines : faire bouillir, pendant dix minutes, 1,5 g de racines en poudre dans de l'eau froide. Laisser infuser dix minutes et filtrer.

    En infusion de feuilles : faire bouillir 3 cuillères à soupe de feuilles séchées dans 500 ml d'eau. Boire plusieurs tasses par jour de cette préparation.

    Nébulisat (100 mg/gélule) : prendre 2 gélules, trois fois par jour.

    En décoction de racines, contre les troubles mictionnels : faire bouillir trois minutes 50 g de racines dans 1 litre d'eau. Laisser infuser vingt minutes. Boire à volonté.

    Le fruit est utilisé en usage externe, pour atténuer les rhumatismes.

    Précautions d'emploi de l'ortie

    Contre-indications

    L'ortie est contre-indiquée aux femmes enceintes, à celles qui allaitent et aux enfants de moins de 12 ans. Elle est également déconseillée aux asthmatiques et aux personnes souffrant de troubles cardiaques ou rénaux.

    Interactions avec des plantes médicinales ou des compléments

    Il est déconseillé d'associer la prise d'ortie à une supplémentation en fer.

    Interactions avec des médicaments

    Pas d'interaction connue.


     
     
     
     
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  • Plante particulièrement nutritive pour le système nerveux, l’avoine convient aux personnes tendues ou apathiques qu’elles soient enfants ou adultes. Elle favorise la concentration, le sommeil et la capacité d’évoluer sainement dans un univers survolté. L’avoine offre un bon soutien pendant la grossesse, en cas de carence alimentaire ou de sevrage. Préparez une infusion avec les parties aériennes vertes. Cette infusion peut aussi être ajoutée au bain en cas de démangeaisons.

    L'avoine était déjà utilisée bien avant notre ère dans une grande partie de l'Asie. Aujourd'hui, elle est prisée en cosmétique pour ses vertus apaisantes, mais aussi pour prévenir un excès de cholestérol ou pour limiter les risques de maladies cardio-vasculaires. Elle peut être consommée sous forme de flocons d'avoine.

    Nom scientifique : Avena sativa

    Noms communs : avoine, avoine cultivée ou avoine byzantine

    Nom anglais : oats

     

    Propriétés médicinales de l'avoine

    Utilisation interne

    Limite les risques de maladies cardio-vasculaires, de diabète et d'obésité grâce à ses fibres, ses antioxydants, ses vitamines et ses minéraux. Contient du bêta-glucane, une fibre soluble qui favorise l'excrétion fécale du cholestérol. Normalise le transit intestinal et a un effet rassasiant rapide. Fortifiant nerveux , calmant du système nerveux , hypocholestérolémiant , adoucissant .

    Utilisation externe

    En bain relaxant . Contre des maladies de peau : sécheresse cutanée, inflammations, séborrhée et démangeaisons.

    Indications thérapeutiques usuelles

    L'avoine est utilisée pour la relaxation, pour faciliter le transit intestinal et pour contribuer à abaisser le taux de cholestérol. Elle a également des propriétés anti-irritantes, des propriétés dermatologiques calmantes, apaisantes pour la peau et qui réduisent sa sensibilité.

    Autres indications thérapeutiques démontrées

    Troubles nerveux et insomnies, sevrage des accoutumances au tabac, asthénies, états d'épuisement, déminéralisation, convalescence, insuffisance thyroïdienne. Diminution du taux de cholestérol dans le sang ; traitement des problèmes intestinaux tels que la constipation ; insomnie, dépression, anxiété, impuissance.

    En bains locaux ou généraux : prurit, eczéma, tonique en médecine vétérinaire moderne.

    Histoire de l'utilisation de l'avoine en phytothérapie

    Le terme avoine vient du latin avena . Il est apparu dans la langue française au cours du XIIe siècle. L'avoine nous vient d'Asie, mais il en existe de très nombreuses espèces et sous-espèces. C'est pourquoi son origine tout comme son évolution restent obscures. Il semble que l' Avena sativa (l'avoine commune) et l' Avena bizantina (l'avoine rouge) proviennent d'une région regroupant l'Asie Mineure, la Transcaucasie, l'Iran ainsi que les plateaux du Turkménistan. A l'origine, l'avoine était essentiellement utilisée pour ses propriétés médicinales. Sa culture n'aurait commencé que peu avant notre ère. Elle s'est peu à peu diffusée en Europe de l'Est et du Nord. C'est la médecine ayurvédique qui a développé l'utilisation de l'avoine non mature pour traiter la dépendance à l'opium. En Europe, elle fut utilisée dès le XVIIe siècle pour traiter les troubles nerveux, les rhumatismes, mais a

    Principes actifs

    Saponosides triterpéniques, silice, fer, manganèse, zinc (39 mg, 8,5 mg, 19,2 mg pour 100 g de poids sec) vitamine B1 et calcium, phosphore, magnésium, sélénium, cuivre, acide pantothénique, alcaloïdes, flavonoïdes, acide phytique. L'avoine contient plus de protéines que toutes les autres céréales ainsi que de nombreux minéraux.

    Utilisation et posologie de l'avoine

    Dosage

    Pour le bain : dans un litre d'eau, faire bouillir et infuser 250 g de flocons d'avoine et verser l'infusion dans un bain. Action émolliente permettant de lutter contre la sécheresse cutanée, dartres, eczéma. Action apaisante pour démangeaisons cutanées et douleurs rhumatismales.

    Pour les enfants : les doses doivent être divisées par deux, soit 50 g de feuilles ou 30 g de farine pour un bain.

    Alimentation : 75 g de flocons d'avoine par jour.

    Infusion : dans une tasse d'eau bouillante, faire infuser durant 10 à 15 minutes une grande cuillère à soupe de flocons d'avoine. Boire trois tasses par jour pour diminuer les douleurs à la gorge et stimuler l'appétit.

    Teinture mère : de 3 à 5 ml trois fois par jour pour lutter contre la fatigue nerveuse. Teinture mère à raison de 50 ml trois fois par jour en début de repas pour la désaccoutumance au tabac.

    Pour le sommeil : gruau, feuilles, tiges en infusion : 3 g dans une tasse d'eau bouillante avant le coucher.

    Pour lutter contre le constipation et prévenir la formation du mauvais cholestérol (LDL) : 40 g de son d'avoine ou 75 g de gruau tous les jours.

    Précautions d'emploi de l'avoine

    Dans des proportions normales, l'avoine n'a aucun effet indésirable et peut être utilisée sans risques (sauf en cas d' allergie avérée).

    Contre-indications

    L'avoine contient du gluten auquel de nombreuses personnes sont allergiques. Sans être manifestement allergène, le gluten peut tout de même causer certains troubles généraux. Il est généralement déconseillé aux femmes enceintes ou allaitantes de consommer de l'avoine (en l'absence d'études scientifiques).

    Les flocons d'avoine crus ne sont pas très digestes et doivent être introduits progressivement dans l'alimentation, en absorbant beaucoup de liquide.

    Effets indésirables

    Une consommation excessive peut entraîner des ballonnements et des flatulences. Les infusions d'avoine peuvent avoir une influence sur la vigilance des conducteurs. La consommation de son d'avoine doit être accompagnée d'une prise suffisante de liquide afin d'éviter la constipation.

    Interactions avec des plantes médicinales ou des compléments

    Pour lutter contre l'anxiété : mélanger l'avoine avec de la ballotte et de la mélisse .

    Pour lutter contre l'émotivité, il convient d'associer l'avoine et le coquelicot .

    Interactions avec des médicaments

    Le son d'avoine ne doit pas être consommé en même temps que les médicaments prescrits contre l'excès de cholestérol. Dans tous les cas, il est préférable d'attendre au moins deux heures entre la prise de médicaments et la consommation de son d'avoine.

    Avis du médecin

    Les bienfaits de l'avoine

    Les soins pour la peau à base d'avoine ou les cosmétiques ont des vertus apaisantes pour les peaux sensibles ou irritées. La consommation régulière de son d'avoine permet de maintenir un taux normal de cholestérol LDL dans le sang. Le son et le gruau d'avoine aident à régulariser les taux de sucre dans le sang après un repas. Ils préviennent la constipation.

    Avertissements

    Il est nécessaire de respecter les doses préconisées et de ne pas faire une consommation élevée de son ou de flocons d'avoine.

    ussi la gale ou la lèpre.

     

     


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  • Mêmes les hôpitaux commencent à s’y mettre

    Au Centre de Lutte contre le Cancer Eugène Marquis à Rennes, on examine avec étonnement la capacité de simples « massages » aux huiles essentielles… à remplacer les médicaments contre l’anxiété !

    Au CHU de Nice, les soignants se passionnent pour l’impact des huiles essentielles sur les patients atteints de la maladie d’Alzheimer.

    A Montélimar, cela fait même plus d’une dizaine d’années que le service cancérologie du centre hospitalier utilise les huiles essentielles pour compléter les traitements anti-cancéreux classiques, accompagner les malades et soulager certains effets secondaires.

    Vous le voyez, les fondateurs de l’aromathérapie moderne avaient raison !

    Les huiles essentielles agissent bien sur plus de 95 % des problèmes de santé… sans effet indésirable lorsqu’elles sont bien utilisées !

    Et le plus fabuleux, c’est qu’elles sont en vente libre… très peu coûteuses… et faciles à utiliser pour peu que vous soyez bien informé(e) et bien accompagné(e) !

    Cela veut dire que vous pouvez profiter pleinement de leurs vertus, vous aussi, avec la bonne méthode.

     

    Douleurs, anxiété, mémoire, beauté : elles agissent sur tout !

    Rassurez-vous, je ne vais pas vous inonder d’études scientifiques.

    Mais vous devez savoir que les huiles essentielles obtiennent de magnifiques résultats à chaque fois qu’elles sont testées avec rigueur :

    • Elles améliorent votre mémoire ! Parmi deux groupes de volontaires, ceux qui ont été placés dans une salle avec un diffuseur d’huile essentielle de romarin ont nettement mieux réussi des exercices de mémoire. Une supériorité de 70 % [7] ;
    • Cette même huile essentielle de romarin aide aussi à faire repousser vos cheveux ! Au bout de 6 mois d’application sur le cuir chevelu, dans des conditions bien contrôlées, les patients ont bénéficié d’une repousse de leurs cheveux identique au groupe qui a pris du minoxidil, un médicament efficace mais très dangereux [8] ;
    • En seulement 2 semaines, des capsules d’huile essentielle de menthe poivrée ont effacé les douleurs de 75 % des patients souffrant de côlon irritable. [9] Cette puissante huile essentielle diminue aussi l’intensité des migraines [10], et fait au moins aussi bien que le paracétamol contre les maux de tête [11] ;
    • L’huile essentielle de lavande vraie supprime l’anxiété et vous rend serein. Cela a été testé avec succès… dans la salle d’attente d’un dentiste, où l’inquiétude est à son comble ! [12] 
    • Contre l’acné [13], il a suffi de 8 semaines pour qu’un mélange d’huile essentielle d’oranger, de basilic doux et d’extrait de vinaigre efface les boutons et lésions à 75 % ;
    • L’équivalent de quelques gouttes de Mentha Arvensis sur l’endroit qui vous fait mal réduit instantanément la douleur [14]… c’est particulièrement précieux si vous souffrez d’arthrose !

    La force des huiles essentielles est tellement évidente que certains hôpitaux commencent à les introduire dans leurs services.

    Mêmes les hôpitaux commencent à s’y mettre

    Au Centre de Lutte contre le Cancer Eugène Marquis à Rennes, on examine avec étonnement la capacité de simples « massages » aux huiles essentielles… à remplacer les médicaments contre l’anxiété !

    Au CHU de Nice, les soignants se passionnent pour l’impact des huiles essentielles sur les patients atteints de la maladie d’Alzheimer.

    A Montélimar, cela fait même plus d’une dizaine d’années que le service cancérologie du centre hospitalier utilise les huiles essentielles pour compléter les traitements anti-cancéreux classiques, accompagner les malades et soulager certains effets secondaires.

    Vous le voyez, les fondateurs de l’aromathérapie moderne avaient raison !

    Les huiles essentielles agissent bien sur plus de 95 % des problèmes de santé… sans effet indésirable lorsqu’elles sont bien utilisées !

    Et le plus fabuleux, c’est qu’elles sont en vente libre… très peu coûteuses… et faciles à utiliser pour peu que vous soyez bien informé(e) et bien accompagné(e) !

    Cela veut dire que vous pouvez profiter pleinement de leurs vertus, vous aussi, avec la bonne méthode.

    Je vous en dirai plus à ce sujet dans un instant, mais d’abord, je voudrais vous expliquer pourquoi les huiles essentielles sont aussi impressionnantes.

    Leur secret ? Ce sont des « condensés d’énergie solaire »

    Toutes les plantes ne fabriquent pas des huiles essentielles, loin de là. C’est un privilège réservé à un petit nombre de plantes supérieures.

    Elles les produisent grâce au soleil, par la photosynthèse. C’est pourquoi les huiles essentielles peuvent être qualifiées de « condensés d’énergie solaire ».

    Les plantes les gardent précieusement dans des petites « poches à essence ». Ce sont leurs « réserves d’énergie » dans lesquelles elles vont puiser en cas de besoin – si le soleil vient à manquer, par exemple.

    Car les plantes sont enracinées… elles ne peuvent pas se déplacer vers un endroit plus riche en apports nutritifs. Mais grâce aux huiles essentielles, elles ont de puissants réservoirs d’énergie !

    Et ce n’est pas là leur seule utilité. Les plantes aromatiques s’en servent aussi… pour faire fuir les agresseurs !

    Elles utilisent leurs « essences » pour se protéger des attaques des bactéries, des virus et des champignons.

    Voilà pourquoi les huiles essentielles sont aussi puissamment anti-virales, antibactériennes, et antifongiques !

    Ce que les plantes aromatiques ont créé pour survivre et guérir, aucun chimiste n’aurait pu l’inventer !

    Cette « quintessence » plonge dans vos cellules pour vous guérir

    L’autre secret des huiles essentielles, c’est qu’elles sont hyper concentrées.

    Savez-vous combien de plantes de menthe poivrée ou de thym vulgaire sont utilisées pour fabriquer une petite bouteille d’huile essentielle ?

    Plus de 10 kilos ! Votre flacon de quelques millilitres contient la puissance de plus de dix kilos de ces plantes médicinales !

    Et ce n’est pas tout.

    Dans une goutte d’huile essentielle, il y a 40 millions de trillions de molécules (40 000 000 000 000 000 000).

    C’est vous dire si ces molécules sont minuscules… et c’est ce qui leur permet de passer à travers tous nos tissus et de rentrer au cœur de nos cellules.

    Car il suffit d’en appliquer une goutte quelque part sur votre corps, pour qu’elle soigne tout votre organisme en quelques minutes, grâce à la circulation sanguine !

    Si vous avez du mal à le croire, vous pouvez l’expérimenter par vous-même : appliquez deux ou trois gouttes d’Eucalyptus radié sur la plante de votre pied… attendez une demi-heure… puis soufflez au visage d’un proche.

    Et vous verrez, le miracle se produira : votre proche confirmera l’odeur d’Eucalyptus !

    Même chose si vous les respirez : vos poumons les redistribueront dans le flux sanguin.

    Quel que soit le mode d’utilisation que vous choisissez, il suffit de quelques gouttes pour avoir un effet maximal !

    Voilà pourquoi les huiles essentielles peuvent remplacer avantageusement 95 % des médicaments les plus répandus.

    Et ce qui est incroyable, c’est qu’elles n’agissent pas seulement sur les problèmes du quotidien - douleurs, rhume, inflammation, infections hivernales, nausées, constipation, insomnie, etc.

    C’est sans doute sur les maladies chroniques que leur potentiel d’action est le plus éblouissant.

    Indispensable pour toutes les maladies chroniques !

    Prenez le cas de Philippe, qui a tenu à témoigner publiquement de son « petit miracle » [15].

    A 73 ans, il a été frappé par un cancer, une tumeur endocrine, inopérable. Placé sous traitement, il subit très vite de lourds effets secondaires (diarrhées, bouffées de chaleur).

    Mais lorsqu’il a consulté un médecin spécialiste des huiles essentielles, tout a changé.

    Très vite, les effets secondaires ont disparu. Mais surtout, ce sexagénaire a eu l’impression de vivre une nouvelle vie… malgré sa terrible maladie !

    « Voici pour moi le résultat de ce traitement aux huiles essentielles : ces dernières années, plus de grippe, ni fièvre, ni abcès dentaire, ni maladies diverses, plus de fatigue.

    Au passage, les douleurs liées à l’arthrose ont quasiment disparu.

    Le moral est revenu lui aussi. Me lever le matin ne me pèse plus ! Et mon corps a retrouvé le tonus qu’il avait perdu ces dernières décennies ». 

    Pour Philippe, les huiles essentielles ont été une vraie résurrection… et je ne doute pas une seconde qu’elles pourraient faire la même chose pour vous.

    Arthrose, diabète, hypertension, ostéoporose, asthme… Elles sont vraiment votre meilleure alliée pour terrasser les maladies chroniques.

    Très franchement, vu leur efficacité, il serait plus que temps que les médecins se mettent enfin à les prescrire massivement contre la plupart des maladies.

    C’est urgent et logique… mais, ce n’est pas près d’arriver, hélas.

    Vu la puissance des lobbys pharmaceutiques et le manque de temps des médecins, il faudra attendre des années, peut-être des décennies avant que votre médecin ne se forme aux huiles essentielles.

    La bonne nouvelle, c’est que vous n’avez pas besoin d’attendre tout ce temps.

    N’attendez pas l’an 2030, commencez maintenant !

    Car vous pouvez apprendre à vous en servir, dès aujourd’hui.

    Rassurez-vous, vous n’avez pas besoin de connaissance médicale. Vous n’avez pas besoin d’avoir Bac+ 10… vous n’avez même pas besoin d’avoir le Bac tout court :

    Vous avez juste besoin d’avoir un tout petit peu de motivation.

    Alors pour vous motiver, permettez-moi de vous dire en quelques mots comment sera votre vie quand vous serez devenu l’aromathérapeute de votre foyer :

    Sauf urgence ou maladie grave, vous n’aurez plus besoin d’aller chez le médecin… et encore moins de passer par la pharmacie pour acheter des médicaments. Etre capable de se soigner seul au quotidien est une véritable libération : imaginez que vous n’ayez plus à appeler le plombier ou à passer chez votre garagiste, parce que vous savez faire !

     

    Avec quelques flacons (qui durent de nombreuses années), vous pouvez vous guérir et guérir votre famille de 95 % des problèmes de santé. Finis les problèmes chroniques, les fatigues ou les douleurs : l’effet est puissant et immédiat.

     

    Avec les huiles essentielles, vous aurez à tout moment les meilleures alliées contre les baisse de moral, les blessures psychologiques, les périodes d’angoisse et de stress. Dites bienvenue à la paix et la sérénité, avec ces « essences » qui touchent au plus profond de votre être.

    Et en plus, c’est économique !

    Finies les armoires à pharmacie remplies à ras-bord. Vous aurez toutes les molécules qu’il vous faut dans un coffret de quelques dizaines de centimètres cube !

    Devenez une « fée des huiles essentielles »

    Les personnes qui maîtrisent l’aromathérapie m’ont toujours fasciné. Je les appelle les « fées des huiles essentielles » :

    Quand vous avez un problème de santé, elles n’ont pas besoin de partir en voiture à la pharmacie à la recherche de médicaments pour vous soulager.

     

    Elles ne se plongent pas dans leur « manuel » d’huiles essentielles, avec ses fiches interminables et ses recettes hyper-techniques.

     

    En deux temps trois mouvements, elles vont vous chercher l’huile essentielle qu’il vous faut, au bon dosage et avec le bon mode d’administration.


    Elles savent presque intuitivement ce qu’il vous faut… et cela marche !

    Ce n'est pas de la magie : ces personnes appliquent des règles qu'elles ont apprises.

    Et vous pouvez devenir comme elles, avec le bon accompagnement !

    Je dis bien, avec le bon accompagnement, car il est à mon avis trop risqué de se lancer seul(e).

    Vous pouvez commettre de lourdes erreurs si vous vous lancez « dans le vide », même avec un bon « manuel ».

    Gare aux erreurs si vous n’êtes pas bien renseigné(e) !

    Quand vous savez ce que vous faites, les huiles essentielles ne présentent aucun danger.

    La preuve : elles sont en vente libre depuis des dizaines d’années et on n’a jamais recensé le moindre problème majeur.

    Mais encore faut-il savoir les choisir et les utiliser correctement !

    Bien sûr, vous aurez le réflexe d’éviter les huiles essentielles bourrées de pesticides… Mais saurez-vous dénicher les laboratoires qui produisent de véritables pépites, distillées pour guérir plutôt que pour servir l’industrie du parfum ?

    Certes, je sais que vous ne confondrez pas l’huile essentielle de lavande vraie avec celle de lavande aspic.

    Mais pourrez-vous faire la différence entre les 6 huiles essentielles de Thymus Vulgaris ? Elles ont beau avoir le même nom, leurs propriétés sont très différentes : l’une d’entre elles est même toxique !

    Et puis il y a bien sûr les huiles déconseillées aux enfants, aux personnes âgées et aux femmes enceintes et allaitantes. Ou celles qu’il vaut mieux éviter en cas de souci de santé (évitez l’huile essentielle de Genièvre si vous avez des problèmes rénaux, par exemple).

    Bref, vous avez compris qu’il vaut mieux s’y connaître. Mais rassurez-vous, c’est très facile quand on suit la bonne méthode.

    Et une fois que vous maîtrisez les huiles essentielles, quel bonheur de les utiliser !

    Soignez-vous en vous amusant !

    C’est bien simple : chacune des utilisations des huiles essentielles est un moment de grâce et de plaisir :

    • Succombez à votre péché mignon en versant une à deux gouttes de l’huile essentielle qu’il vous faut dans une petite cuillérée de miel – et savourez le délicieux goût en bouche ;
    • Seul(e) ou avec votre conjoint(e), profitez pleinement des massages : c’est une des voies les plus efficaces d’absorption des huiles essentielles… et l’une des plus agréables à utiliser !
    • Respirez la sérénité, la bonne humeur… et de splendides fragrances grâce à votre diffuseur d’huiles essentielles. Vous travaillez, vous faites la cuisine, vous lisez tranquillement… et vous vous soignez en même temps !
    • Faites comme Cléopâtre : prenez le temps de profiter d’un bain aromatique et thérapeutique ! Mais ne jetez pas vos gouttes directement dedans (erreur de débutant !), dissolvez-les d’abord dans une base moussante ou un lait végétal.

    Au début du 20ème siècle, le célèbre abbé Kneipp soignait toutes sortes de maladies avec des bains aux plantes : bains à la Sauge (tonifiant) en cas d’hypotension, bains de Genièvre pour les arthritiques, bains de Thym pour les victimes d’affections pulmonaires chroniques.

    Nous savons aujourd’hui que les Anciens avaient raison. C’est qu’ils avaient compris quelque chose sur les odeurs que l’on commence à peine à redécouvrir.

    Profitez de l’étonnant pouvoir psychologique des odeurs

    Ce n’est pas pour rien que l’Egypte des pharaons brûlait des parfums dans les temples et dans les rues.

    Les molécules aromatiques ont un pouvoir qu’aucune autre substance ne peut égaler, car elles parviennent directement à notre cerveau « émotionnel » (limbique), sans passer par notre cerveau rationnel (neo-cortex).

    Elles abolissent toutes les frontières rationnelles de temps et font resurgir tout un monde d’images, de souvenirs et d’émotions enfouis au fond de notre mémoire.

    Cela veut dire qu’en plus de leur pouvoir « physiologique », via la circulation sanguine, les huiles essentielles ont aussi un impact « psycho-sensoriel » puissant.

    Et c’est ainsi que, d’après le Dr Giraud, une des plus grandes spécialistes françaises des huiles essentielles [12] :

    • L’Huile essentielle (HE) de Basilic calme la colère et la rancœur, et permet de passer à autre chose ;
    • L’HE de Lavande vraie révèle vos blocages par rapport aux autres et les apaise ;
    • L’HE de Laurier noble vous donne la force et la volonté d’agir ;
    • L’HE d’Hélichryse vient déloger les problèmes enracinés et lever les blocages psychologiques ;
    • L’HE de Myrrhe vient libérer ceux qui n’arrivent pas à « lâcher prise ».
    • Indispensable pour toutes les maladies chroniques

           

     


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  • Trèfle rouge (Trifolium pratense)trefle-rouge

    Riche en calcium, le trèfle rouge est un tonique nerveux qui convient bien aux personnes souffrant de troubles d’accumulation toxique. Ses nutriments seront grandement appréciés par les enfants, les femmes (de la puberté à la ménopause), les aînés et les convalescents. Plante de la famille des légumineuses, elle est également riche en isoflavones protecteurs. On consomme l’infusion des fleurs ou des parties aériennes au complet, mais on évite de la prendre en même temps que des médicaments qui fluidifient le sang.

    Le trèfle rouge est une plante fourragère qui est depuis longtemps appréciée pour ses vertus diurétiques, sédatives et antitussives. Elle est aussi utilisée pour atténuer les symptômes liés à la ménopause.

    Noms scientifiques : Trifolium pratense , Trifolium arvense

    Noms communs : trèfle rouge, trèfle des prés, miel des prés, trèfle violet

    Noms anglais : red clover , broad-leaved clover , cow grass

     

     

    Propriétés médicinales du trèfle rouge

    Utilisation interne

    Le trèfle rouge a des propriétés phyto-oestrogéniques, mais c'est aussi un dépuratif, un diurétique, un antitussif, un cholérétique et un antispasmodique.

    Utilisation externe

    Protection solaire ; soins des dermites et de l' eczéma.

    Indications thérapeutiques usuelles

    Le trèfle rouge est employé pour soulager les symptômes de la ménopause (dont les bouffées de chaleur et la nervosité) et l'ostéoporose. Il a également un effet préventif des troubles cardio-vasculaires, principalement chez les femmes. Il est utilisé contre les diarrhées, la toux et permet de rafraîchir les yeux fatigués.

    Autres indications thérapeutiques démontrées

    Le trèfle rouge sert à soigner les problèmes de peau, y compris chez les enfants. En usage externe, il soulage les personnes atteintes de psoriasis, d'eczéma, de démangeaisons ou d'ulcères cutanés. Il est un adjuvant dans le traitement de la goutte.

     


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  • Molène (Verbascum thapsus)bouillon-blanc

    La Molène est l’amie des muqueuses, particulièrement celles du système respiratoire. Elle les nourrit, elle atténue leur sensibilité et augmente leur résistance. Cette plante est l’alliée numéro un des fumeurs et ex-fumeurs, des personnes fragiles des poumons ou qui ont des problèmes respiratoires chroniques. Elle est efficace contre l’enrouement, la toux, la bronchite et l’asthme. Prenez les feuilles en infusion, mais faites attention aux poils qu’elles laissent au fond de la tasse : ils peuvent irriter la gorge !.

    Le bouillon-blanc est l'une des plantes médicinales les plus recommandées pour lutter contre la toux et certaines affections respiratoires, telles que les bronchites, les trachéites ou les laryngites. Parfois appelée molène, elle présente, également, des propriétés apaisantes et anti-inflammatoires qui agissent sur les maux de gorge et les maux de ventre. En application externe, le bouillon-blanc calme les irritations cutanées et buccales, ainsi que la douleur et l'inconfort liés aux hémorroïdes.

    Nom scientifique : Verbascum thapsus

    Noms communs : molène, molène bouillon-blanc, herbe de Saint-Fiacre, cierge de Notre-Dame, fleur de grand chandelier, oreille de Saint-Cloud, queue de loup

    Noms anglais : great mullein , verbascum

     

    Propriétés médicinales du bouillon-blanc

    Utilisation interne

    • Emollient : le bouillon-blanc réduit les inflammations et les spasmes causés par les entérites et les diarrhées douloureuses.
    • Antitussif : le bouillon-blanc calme la toux sèche.
    • Expectorant : en limitant la formation des mucosités, tout en favorisant leur évacuation, le bouillon-blanc permet d'atténuer les symptômes de certaines affections des voies respiratoires comme les laryngites, les trachéites, les pharyngites, les bronchites, ou encore l'enrouement et l'extinction de voix.

    Utilisation externe

    • Apaisant : une décoction de bouillon-blanc, en application locale, calme les démangeaisons comme les irritations de la peau et de la bouche.
    • Cicatrisant : après macération des fleurs dans de l'huile d'olive, le bouillon-blanc devient un excellent remède contre les otites et les hémorroïdes.

    Indications thérapeutiques usuelles

    Le bouillon-blanc, qui entre dans la composition de la célèbre "tisane des quatre fleurs", avec la mauve, la guimauve, le coquelicot , la violette, le tussilage et le gnaphale, facilite la toux. Il calme également certaines affections des voies respiratoires (bronchites, laryngites, trachéites...). Son action émolliente soulage les personnes souffrant de diarrhées douloureuses, de maux de ventre et, tout particulièrement, de colites. En usage externe, le bouillon-blanc est indiqué pour atténuer les démangeaisons, les irritations buccales et cutanées, les otites et les lésions anales.

    Autres indications thérapeutiques démontrées

    Le bouillon-blanc peut également, sans en soigner les causes, modérer les douleurs de cystites aiguës, car ses propriétés diurétiques favorisent l'élimination des liquides. Plante légèrement sédative, le bouillon-blanc favorise aussi l'endormissement. Enfin, l'huile essentielle de bouillon-blanc permet de lutter contre les catarrhes, les engelures et l'eczéma.

    Histoire de l'utilisation du bouillon-blanc en phytothérapie

    Jadis considéré comme "magique", puisqu'il était utilisé pour conjurer les malédictions, le bouillon-blanc est exploité depuis l'Antiquité en phytothérapie. Pline l'Ancien vantait déjà les vertus de cette ancienne plante médicinale. Le botaniste grec Dioscoride utilisait ainsi ses racines pour traiter les maladies pulmonaires. Plus tard, au XIe siècle, sainte Hildegarde se servait des feuilles et des fleurs, pour soigner l'enrouement. Au Moyen Age, une méthode d'extraction des sucs vit le jour et permit de lutter contre la goutte et les hémorroïdes. Au XVIIIe siècle, le Dictionnaire de Trévoux fait mention du bouillon-blanc dans le traitement des "maladies de la poitrine, maux de ventre, dysenteries et maladies du fondement". Importées en Amérique du Nord, les feuilles étaient fumées par les peuples autochtones pour traiter les affections pulmonaires.

     

     


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